Question (1er trimestre): Afin de sensibiliser les enfants sur la lutte contre le gaspillage alimentaire, pourrait-on profiter du changement de direction du collège Diderot, pour relancer la réflexion sur l’adaptation des portions en fonction de l’âge des enfants ?
Réponse : Cela a déjà été discuté avec le nouveau principal. Pour celui-ci, c’est impossible par rapport à la chaîne de production. Le personnel municipal essaie d’adapter les portions. D'autres actions de sensibilisation peuvent être envisagées. Les parents réfléchissent à des actions sur le gaspillage alimentaire et émettent diverses hypothèses (poulailler, composteur…).
Questions (2e trimestre): Sur toutes les écoles les tarifs de la cantine ont été discutés et majoritairement les parents souhaitent des précisions : sur le tarif en lui-même, le mode de paiement (trimestre ou annuel), l’adaptation du fonctionnement selon la régularité de la présence de l’enfant. Est-ce que des pistes de négociations avec le collège seront à nouveau exploitées concernant les contenus, les portions etc… ?
Y-a-t-il dans le personnel des agents formés à l’adaptation des repas en fonction de la spécificité des enfants : âge, problème de santé… ? »
Réponses : Mme Rossignol répond qu’elle ne voit pas d’intérêt à différencier la tarification des cantines en fonction de l’assiduité des enfants dans la mesure où cela n’engendre pas de gain pour la commune, le coût des repas et des charges indirectes ne changeant pas. Elle précise qu’afin de réduire le gaspillage, les portions ont été adaptées par le collège en fonction de l’âge des enfants mais que le tarif des repas n’a, pour le moment, pas évolué. De plus, le coût du personnel d’encadrement, formé aux enfants en bas âge, est plus élevé en maternelle.
La formule à la journée proposée aux parents est simple et souple.
Une réflexion pourrait cependant se tenir sur l’adaptation des tarifs en fonction du quotient familial et sur le côté occasionnel de prise de repas.